L’émorisation est une méthode unique qui apporte un retour sur investissement rapide et significatif. Dans les SEMINAIRES, une sensibilisation à l’international de tout le personnel de l’entreprise, même pour ceux qui ne sont pas directement concernés. Dans les FORMATIONS, une réelle transformation de vos collaborateurs.
Dans l’animation de votre prochain séminaire et devant TOUT le personnel de l’entreprise.
L’expert se met en scène en jouant un One Man Show ! Les apports interculturels sont facilement mémorisés grâce à la conférence théâtralisée qui apporte le soutien émotionnel indispensable. Des objets et des messages clefs créent une véritable dynamique. Laurent Goulvestre est le seul expert, en France, à se mettre en scène pour bousculer les esprits de tous les collaborateurs.
Dans les formations interculturelles pour des participants ciblés exports ou autres, des outils tels que des jeux de rôle, des études de cas impactent en profondeur vos collaborateurs. Avant et pendant la formation, les participants travaillent sur leur profil culturel qui va permettre à la fois de se positionner et de positionner culturellement ses partenaires pour en réduire tous les écarts.
Si vous vous concentrez quelques secondes sur ces évènements, vous vous souviendrez sans doute du lieu où vous vous trouviez et de la manière dont vous l’aviez appris. Plus celui-ci vous a ému et plus le souvenir sera clair et précis. Face à une émotion importante, votre cerveau a imprimé ces informations qui semblent indélébiles dans votre mémoire. Ce phénomène, abordé pour la première fois par Gal Richter-Levin de l’université de Haifa, est appelé marquage émotionnel.
Toutes les informations qui entrent dans notre cerveau passent d’abord par le cerveau émotionnel avant d’entrer dans le cerveau de la réflexion. En utilisant l’humour avec des visuels et des objets singuliers, Laurent Goulvestre fait passer des messages qui sont retenus par tous. Pendant les formations, des jeux de rôle sur des cas réels bousculent les esprits. Les collaborateurs devront aussi s’engager en se plaçant eux-mêmes sur une grille culturelle et deviendront acteurs de leur situation. La force des émotions va modifier en profondeur les comportements. Le rire, la détente, la mise en situation inhabituelle interpellent tout le monde. L’émotion est utilisée ici comme MARQUEUR COGNITIF.
Notre cerveau est composé de trois étages et deux lobes gauche, droite.
Les modes d'apprentissage de l’Education Nationale et des formations « classiques » privilégient le savoir. Le formateur est présent dans la salle et transmet sa connaissance de façon neutre, voire même parfois monotone et sans réelle interactivité. Or, si le cortex analyse et traite correctement l’information donnée par le formateur, il la retient rarement puisque nous avons vu que le cerveau se stimule de façon ascendante, en commençant par le limbique afin de stimuler la mémoire.
Ainsi, quand on écoute de la musique, ce sont les premières secondes qui sont importantes. Si celle-ci nous plait, le cortex prendra le contrôle de la main qui saisira ainsi le CD afin de l’acheter. Par contre, si le « limbique » ne s’est pas ouvert, le cortex restera neutre et il y a fort à parier que le CD restera aussi sur l’étagère du magasin...
On voit ainsi que la motivation pour apprendre, ou encore engager une action, est un processus qui vient en grande partie d’éléments extérieurs – de façon exogène - et donc de l’environnement. Il s’oppose, de fait, à l’autosuggestion faite à partir du cortex que l’on retrouve dans la méthode Coué. Un autre exemple marquant est le fait d’essayez de s’endormir quand on se le dit. Il y a fort à parier pour que dans la plupart des cas cela nous tienne plus éveillé qu’autre chose.
Il en est de même pour le manager qui comprend vite l’inutilité de dire en permanence à ses collaborateurs « Motivez-vous !», allez, « Bougez-vous, soyez plus efficace ». C’est uniquement en mettant en place des éléments dans l’environnement du collaborateur : prime, possibilité de promotion, nouvelles responsabilités, plus de sens dans les tâches que celui-ci se mettra en mouvement.
En construisant des conférences, des formations et du coaching spécifique qui déclenchent de l’émotion chez le collaborateur, son thalamus sensoriel va générer de la noradrénaline qui va, à son tour, activer les récepteurs de l’amygdale. Ces derniers, en accordant une connotation émotive à l’information, vont la mémoriser facilement en activant l’hippocampe. Le fait de sensibiliser systématiquement le cerveau limbique en amont devient alors une méthode infaillible.
Qu’elle soit positive ou négative, l’émotion favorise donc l’apprentissage. Cependant la qualité de « fixation » de ce que l’on retient est différente selon le type d’émotion vécu. En ce qui concerne l’émotion positive, on retient plus d’éléments en cohérence avec la globalité d’une situation. Pour ce qui est de l’émotion négative, la mémoire est focalisée sur des détails précis, au détriment de la vision globale. Les exercices proposés sont donc liés à des émotions positives et toutes les connaissances transmises pendant la formation sont ancrées dans la mémoire à travers cette technique.
Cette méthode unique et éprouvée depuis 15 ans va enfin vous apporter un véritable retour sur votre investissement formation et séminaire !
(1) McDonald, Robert J.; White, Norman M.Triple dissociation of memory systems: Hippocampus, amygdala, and dorsal striatum. Behavioral Neuroscience, Vol 107(1), Feb 1993, 3-22.
(2) DANIEL L. SCHACTER « à la recherche de la mémoire, le passé, l’esprit et le cerveau » traduction de la 1ère édition américaine par béatrice Desgranges et Francis Eustache
(3) MORRIS J.S., FRISTON K.J., BÜCHEL C., YOUNG A.W., CALDER A.J., & DOLAN R.J. (1998) : A neuromodulatory role for the human amygdala in processing emotional facial expressions. Brain, 121 : 47-57.
(4) G. Richter-Levin, & L. Akirav, « Emotional tagging of memory formation – in the search of neural mechanisms », Brain research reviews, vol XLIII, n°3 2003
(5) Anne Jolly «évènements traumatiques et état post-traumatiques : une revue de la littérature épidémiologique » annales Médico-Psycologiques, 2000, 158(5), 370-378.